achetez un articles pdf OfficeEtCulture

Voir des extraits

Informations complémentaires

Gustave Moreau (1826-1898), figure emblématique du symbolisme, a légué sa maison du 9e arrondissement de Paris à l'État avec l'intention de la transformer en musée. Ce testament du 10 septembre 1897 visait à préserver l'intégralité de son œuvre – peintures, dessins, et esquisses – accumulée sur cinquante ans, ainsi que les souvenirs familiaux, dans leur contexte original. Moreau, obsédé par la pérennité de son travail, souhaitait que sa collection reste unie pour refléter l'étendue de ses efforts et de sa créativité. Cette démarche, presque unique dans l'histoire de l'art, illustre son désir d'immortalité artistique, comparable à la quête des pharaons pour l'éternité. Aujourd'hui, la maison-musée se présente exactement comme Moreau l'avait envisagée, témoignant de sa vision et de son génie.

Gustave Moreau – L’inconnu célèbre (revue 71)

« J’ai vu une des plus belles choses que j’ai jamais vues ! », s’émerveille l’écrivain, journaliste et critique d’art Émile Straus, le 14 juillet 1887, au sortir de l’atelier de Gustave Moreau, après avoir découvert Les Licornes. C’est dire en quelle estime on tient ce peintre, leader des symbolistes, considéré comme le père des fauvistes et comme le grand-père putatif de l’abstraction. Son influence sur la peinture du XXe siècle est évidente, mais, trop littéraire, trop intellectuel, il n’a pas la place qui lui revient dans l’opinion publique. Il confesse, à la veille de sa mort, en avoir souffert toute sa vie.

Pour mieux le connaître, nous vous invitons dans sa maison-musée.

3,50  TTC

2,92  HT

Voir des extraits

Informations complémentaires

Gustave Moreau (1826-1898), figure emblématique du symbolisme, a légué sa maison du 9e arrondissement de Paris à l'État avec l'intention de la transformer en musée. Ce testament du 10 septembre 1897 visait à préserver l'intégralité de son œuvre – peintures, dessins, et esquisses – accumulée sur cinquante ans, ainsi que les souvenirs familiaux, dans leur contexte original. Moreau, obsédé par la pérennité de son travail, souhaitait que sa collection reste unie pour refléter l'étendue de ses efforts et de sa créativité. Cette démarche, presque unique dans l'histoire de l'art, illustre son désir d'immortalité artistique, comparable à la quête des pharaons pour l'éternité. Aujourd'hui, la maison-musée se présente exactement comme Moreau l'avait envisagée, témoignant de sa vision et de son génie.

Gustave Moreau – L’inconnu célèbre (revue 71)

« J’ai vu une des plus belles choses que j’ai jamais vues ! », s’émerveille l’écrivain, journaliste et critique d’art Émile Straus, le 14 juillet 1887, au sortir de l’atelier de Gustave Moreau, après avoir découvert Les Licornes. C’est dire en quelle estime on tient ce peintre, leader des symbolistes, considéré comme le père des fauvistes et comme le grand-père putatif de l’abstraction. Son influence sur la peinture du XXe siècle est évidente, mais, trop littéraire, trop intellectuel, il n’a pas la place qui lui revient dans l’opinion publique. Il confesse, à la veille de sa mort, en avoir souffert toute sa vie.

Pour mieux le connaître, nous vous invitons dans sa maison-musée.

3,50  TTC

2,92 HT

Gustave Moreau (1826-1898), figure emblématique du symbolisme, a légué sa maison du 9e arrondissement de Paris à l'État avec l'intention de la transformer en musée. Ce testament du 10 septembre 1897 visait à préserver l'intégralité de son œuvre – peintures, dessins, et esquisses – accumulée sur cinquante ans, ainsi que les souvenirs familiaux, dans leur contexte original. Moreau, obsédé par la pérennité de son travail, souhaitait que sa collection reste unie pour refléter l'étendue de ses efforts et de sa créativité. Cette démarche, presque unique dans l'histoire de l'art, illustre son désir d'immortalité artistique, comparable à la quête des pharaons pour l'éternité. Aujourd'hui, la maison-musée se présente exactement comme Moreau l'avait envisagée, témoignant de sa vision et de son génie.

articles pdf Populaires

Évolution de l’immobilier : entre crises et résilience, l’analyse de George Lakhovsky

Depuis plus de 30 ans, George Lakhovsky observe l’évolution du marché immobilier, traversant crises et transformations. Dans cet entretien exclusif, il partage sa vision sans détour sur les défis actuels, les erreurs du passé et les stratégies à adopter pour naviguer dans cette période incertaine. Un regard critique sur un secteur en pleine mutation.

La confiance au bureau – (revue 70)

Open space, desk sharing, flex office, New Ways of Working... toutes ces transformations de nos environnements de travail figurent parmi les oripeaux du nouvel âge d’or des bureaux. Ils suscitent de l’incompréhension, des fantasmes, des peurs, voire du rejet. Ils génèrent de la défiance vis-à-vis de directions générales, qui revendiquent pourtant plus de bien-être au travail, une amélioration de l’expérience collaborateur, ou plus d’écoresponsabilité.

L’expérience de l’espace : la proxémie (revue 69)

En 1971, un anthropologue britannique, Edward T. Hall, publie un essai visionnaire consacré à une nouvelle discipline, la proxémie. Il s’avère être d’une grande utilité pour décrypter notre époque.Cet ouvrage, vieux de 50 ans, nous rappelle combien les êtres humains que nous sommes ont des besoins proxémiques.